France Sri Lanka Cultural Exchanges - Suriyakantha

  The bilingual site devoted to the cultural life in Sri Lanka and in France                                                        
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Le site bilingue consacré à la vie culturelle au Sri Lanka et en France




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Fascinant Orient

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Lyon

MUSEE DES BEAUX-ARTS
Jusqu'au 4 juillet 2011

Le génie de l'Orient, l’Europe moderne
et les arts de l’Islam


Au cours du XIXe siècle, l’Europe découvre un nouvel univers visuel, celui des arts de l’Islam. Le marché de l’art et les collections privées contribuent à forger un nouveau regard et un nouveau savoir à travers :
- les voyages et les expéditions,
- le développement de la photographie,
- les publications,
- les expositions.
À l’occasion de voyages, nombre de collectionneurs constituent des ensembles d’œuvres souvent spectaculaires qui témoignent de l’émerveillement de l’occident pour l’orient.
La découverte des arts de l’Islam donne naissance à deux révélations :
- l’une, diffusée surtout par la peinture, s’inspire des décors des palais et harems pour une vision fantasmée de la fable orientaliste ;
- l’autre est portée par les théoriciens de l’ornement et certains artistes d’avant-garde. Ils recherchent dans l’art de l’islam une nouvelle esthétique qui pourrait transformer les codes de représentation occidentale. Tapis et tissus, céramiques, métaux, marqueteries de bois ou encore d’ivoire introduisent un nouveau répertoire de formes, de motifs et de techniques.

Marseille

CENTRE DE LA VIEILLE CHARITE
Du 27 mai au 28 août 2011

L’Orientalisme en Europe
De Delacroix à Matisse

La fascination pour l'Orient qui traverse l'histoire de l'art occidental connait un essor tout particulier au XIXe siècle. Entre la campagne d'Egypte de Bonaparte (1798-1801) et le séjour de Matisse en Afrique du nord (1906), l'Orientalisme va connaître son véritable âge d'or.
Les vues d'Egypte rapportées par les artistes qui accompagnèrent Bonaparte constituent, avec l'illustration des premiers actes de la légende napoléonienne, les premiers jalons d'une nouvelle découverte du monde oriental par le public européen. En suscitant un engouement dans toute l'Europe pour le passé pharaonique, elles initient un mouvement d'intérêt général et durable pour tout ce qui touche à l'Orient.
Au siècle de Louis XIV on était helléniste, maintenant on est orientaliste pourra dire Victor Hugo.


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Du Sud de la France...

Kingsley Gunatillake
DESSINS
7 - 25 juillet 2006
Alliance française de Kandy

"Une terre aux cailloux rouges. Des vignobles taillés. Métal fondu et torturé – fer soudainement jailli de la terre. Les bandes de terre mamelonnées s’étirent à l’horizon. Les motifs se côtoient dans la discrétion.
Dessins et motifs métamorphosés s’étalent à perte de vue. Un froid qui ne lasse pas. Une odeur de terre réchauffée du soleil qui la caresse. La vigne pousse sous nos yeux, serpente, grimpe. Et l’ennui et l’anxiété s’éloignent tout doucement.
Pas de réelle théorie à développer… Quelques jours dans une petite maison du village de Bédarieux au Sud de la France ; la joie de parcourir seul une dizaine de kilomètres le long des vignobles. La cuisine française, le vin, le plaisir de l’hospitalité… un autre monde.
C’est ce que mes dessins de vignobles se proposent de manifester..." ”

Kingsley Gunatillake

  • Kingsley Gunatillake à Paradise Road Galeries (2001)  

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                                Torah
                           Bible
                                Coran


    Abraham (Bible de Souvigny)
    Invitation à lire ou à relire les grands textes qui ont forgé notre modernité, à revenir aux sources, à réentendre et confronter bibles et corans. Invitation à saisir l'enchevêtrement de leurs histoires dans la profondeur de leurs filiations, comme dans le constat de leurs ruptures...
    L'exposition "Livres de Parole, Torah, Bible, Coran" explore 3000 ans de notre histoire à travers les témoins privilégiés que constituent les livres sacrés : livres parfois blessés et parfois éclatants, livres voyageurs tissés de rencontres, ignorant les frontières de la carte, livres murmurés, proclamés, psalmodiés ou contemplés.
    Une centaine de pièces exceptionnelles ou émouvantes témoignent d'une immense aventure humaine, celle de la mémoire et de la transmission.

  • Février - Avril 2006
    Bibliothèque Nationale de France - site François Mitterrand
    Petite Galerie Quai François-Mauriac -
    75013 PARIS
  • Bibliothèque Nationale de France  

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    Monet

    L'APPEL DE L'AILLEURS
    Les sources orientales de l'art français
    au 19e siècle


    Après Delacroix : une lutte passionnée pour la liberté” (1998), “La semaine Cézanne” (2001), “Gauguin : le rêve sauvage” (2003),“Matisse : apothéose de la couleur” (2004),



    Hiroshige

    l'exposition présentée cette année par l'Alliance française de Kandy mettait en lumière les sources non-occidentales qui ont inspiré l'art français au XIXe siècle, au travers des oeuvres d'Eugène Delacroix, Jean-Dominique Ingres, Edouard Manet, Claude Monet, Paul Cézanne, Vincent Van Gogh, Paul Gauguin, Camille Claudel, et Henri Matisse, sous le titre “L'Appel de l'ailleurs – de Delacroix à Matisse”.

    La cérémonie dinauguration s'est déroulée le vendredi 26 août à 18h30 avec la participation de Mr. Yves-Alain Corporeau, Conseiller de coopération et d’action culturelle a l'Ambassade de France.(Exposition jusqu'au 4 septembre).

    Le programme culturel qui accompagne cette exposition comportait un atelier pour les étudiants d'art (27 et 28 août) et une exposition parallèle à partir du 31 août présente les oeuvres réalisées dans ces ateliers.



    "WOODEN GALAXY"
    Une exposition de OLGA DIMITRI

    KANDY - Alliance française, du 21 mai au 28 mai 2004.



    L'Alliance française de Kandy accueillit Olga Dimitri pour sa seconde exposition à Kandy du 21 mai au 28 mai 2004. Le vernissage eut lieu le 21 mai à 18h30, l’Invité d’Honneur étant le Professeur Ashley Halpé, Emeritus Professor of English , Université de Peradeniya.




    Ce qui m’a influencé et motivé pour réaliser ces peintures sur bois et quelle idée les sous-tend…










    "J’ai toujours été obsédée par le bois.
    J'ai d’abord seulement été ravie de le regarder, sans penser à le travailler. Même mes premiers souvenirs sont liés au bois. Il s’agit d’une histoire d’amour avec un vieux mur de bois, ses bûches ternies, leur dessins noircis tissant d’indicibles épopées. Et il m’aima à son tour. Je ne faisait que me tenir là, bouche bé, clouée au sol par notre amour. C’est un de ces moments qui ressemblent à l’éternité. J’aperçois l’infini quand je regarde le bois.
    Kandy m’a beaucoup influencée.
    Quand je fus amenée à venir vivre prés de cette ville dans la plantation de thé de mon mari en 1993, je fus éblouie. Kandy possède une vraie dimension spirituelle, sans l’absurdité du “new age”. Activités paranormales, culture riche, grande diversité dans les influences religieuses, à la fois positives et négatives, une atmosphère profondément mystique de façon générale. Vous pouvez imaginer ce que cela peut être après la froide et morne métropole de béton qu’est Moscou. Et naturellement, c’était la possibilité d'une incroyable découverte de soi que d’habiter la plantation. La nature qui vous entoure est d’un grand secours pour vous re-lier à votre vraie identité.






    J’ai commencé à faire des expériences sur le bois au début de mon séjour dans la plantation. Ce fut quand je découvris de nombreuses planches de bois, rongées par les termites, aux étages depuis longtemps désaffectés de l’usine de mon mari. Quel relief donné aux incroyables motifs, aux gradations de tons et de couleurs du bois qui toujours m’ont si profondément fascinée.
    Peu après cette découverte, le Dr Dmitri, mon mari, enleva plusieurs de ces planches pour que je puisse commencer à les travailler. Un an plus tard, je vins à Colombo et l’idée fut balayée par d’autres préoccupations, et ce n’est que plusieurs années après que je m’y remis à nouveau, de différentes façons.
    Maintenant, le bois représente mon principal matériau. Pour ce qui est de l’idée derrière l’ensemble de ce projet… bien… d’abord, comme je l’ai déjà évoqué, le fait de résider dans la plantation me mettait en contact étroit avec la nature. Cela m’inspirait profondément et je voulais donc réaliser quelque chose qui représente l’expérience d’un lien avec la nature.

    C’est une caractéristique familiale, je pense, ce désir de nature.
    Mon père et mon grand-père étaient agriculteurs. Mon mari, par son travail scientifique sur le thé, est en contact avec la nature, comme mes fils, Andrey and Nikolai, par la pratique du rafting et des circuits d’aventure. Quant à moi, c’est le bois qui m’est apparu le mieux à même de me relier à la nature. Le bois est universel; il renferme toutes les forces de la nature. Au lieu de me consacrer à la sculpture sur bois, ou de l’utiliser simplement comme la base d’une peinture, j’ai commencé par des réalisations qui exposent l’état naturel du bois. En d’autres termes, j’utilise la peinture et parfois la sculpture afin de mettre en valeur ce qui est déjà là. La peinture est le fond, le bois est le premier plan. Comme l’affirme un vieux proverbe ‘la nature est le meilleur artiste’; elle a besoin seulement de quelque publicité, c’est ce que je fais.

    J’ai été beaucoup influencée par ce que l’on a appelle le groupe Zéro qui, en simplifiant beaucoup, est un mouvement né dans les années 60 en Allemagne qui s’est attaché à représenter les forces naturelles par la seule couleur, particulièrement la monochromie. Leur manifeste était ‘zéro est silence; zéro est le commencement; zéro est rond; zéro tourne’. On peut dire la même chose du bois. Il est quelque chose de fondamental et d’essentiel. Je ne définirai pas mon oeuvre de minimaliste, bien qu’elle soit certainement très Zen dans la mesure où j’essaie d’absorber l’observateur dans l’expérience de la nature. J’essaie de faire de chaque peinture, de chaque composition une petite porte qui ouvre à chaque observateur un monde différent, un monde si facilement perdu dans les vies frénétiques de nos cités..."










    "PEEP INTO THE PAST"
    Exposition de THILAK PALLIYAGURUGE

    KANDY - Alliance française, du 19 au 28 JANVIER 2007.

      

    Thilak Palliyaguruge, Vice-Président du Comité Exécutif de l’Alliance française de Kandy, a présenté sa 12e exposition de peintures du 19 au 28 janvier 2007 dans la Galerie de l‘Alliance française de Kandy.
    L'exposition fut déclarée ouverte par Mr. Michel Lummaux, Ambassadeur de France à Sri Lanka et aux Maldives, accompagné de Mr. Yves-Alain Corporeau, Attaché Culturel le vendredi 19 janvier à 18h30.
    Thilak Palliyaguruge a été associé à l’Alliance française depuis 1977 à l’occasion de sa 3e exposition. L’Alliance française a également parrainé ses 10e et 11e expositions en 2000 et 2003.
    Paysagiste de profession, il s’est intéressé à la peinture dès son enfance, remportant un grand nombre de prix dans des Concours d’art. Il a par ailleurs assuré l’animation d’ateliers régulièrement organisés par l’Alliance française et par le « Department of Cultural Affairs ».
    Parlant de son oeuvre, le Dr Nandadeva Wijesekara, éminent spécialiste en art, souligne que «ses thèmes sont simples, puisés le plus souvent dans la vie quotidienne des communautés rurales. Les sujets qu’il choisit sont présentés avec assurance à la fois pour ce qui est de la lumière et des couleurs. L’artiste a, dans une certaine mesure, été influencé par l’idéalisme...”
    Son ambition est d’ouvrir une Galerie à sa résidence No. 48, Mahaweli Uyana, Kundasale.


    "MINIATURES ABSTRAITES"
    Exposition de THILAK PALLIYAGURUGE

    KANDY - Alliance française, du 24 au 30 mai 2003.

    Bien, essayons celle-ci... une vague, une boite, des oiseaux sur une branche et une tempête de sable, qu'ont-elles en commun ? Si je vous dis l'art, cela vous ferait-il sourire? Le jour où Kalabooshana Thilak Palliyaguruge, artiste et membre du Comité Exécutif de l'Alliance française de Kandy me présenta quelques unes de ses miniatures abstraites, c'est tout ce que je vis... une vague sur l'une, une boîte sur l'autre, les oiseaux sur cette branche et la tempête de sable qui disperse tout au loin.
    L'artiste s'abstint de tout commentaire sur mes interprétations en dépit de mon insistance "Que pensez-VOUS que cela soit ?" " J'ai laissé toute liberté au spectateur de mettre un nom sur une peinture...ainsi toute interprétation n'appartient qu'à vous" me répondit l'artiste.





    La 11e exposition de Thilak Palliyaguruge, qui rassemble environ 150 miniatures abstraites sera déclarée ouverte à l'Alliance française de Kandy le vendredi 23 mai à 18h30.
    Il s'agit d'une exposition différente dans la mesure où les peintures ne portent pas de titre et ne répondent à aucune classification chronologique.

    Kalabooshana Thilak Palliyaguruge en dehors de ses 10 précédentes expositions a également participé à 15 expositions de groupe. Ses penitures honorent le Sri Lanka car elles ont été accueillies dans de nombreux pays : aux États-Unis, au Canada, en Inde, au Pakistan, en France, en Belgique, en Allemagne, en Australie et en Grande-Bretagne par exemple. L'Association américaine pour le Triangle Culturel du Sri Lanka a choisi dix de ses peintures pour une exposition au siège de l'Association à Washington. L'année dernière Palliyaguruge a été honoré de la "Asirwada Medal" à l'occasion du Festival Culturel organisé par le Kandy Cultural Council.




    Artiste réputé, Thilak Palliyaguruge est aussi un architecte paysagiste. Il a contribué à la réalisation du complexe de biodiversité de Gampola's Ambuluvava Mountain. Le Prof. Ashley Halpé, parlant de l'œuvre de Thilak Palliyaguruge, la décrit comme "une merveilleuse expérience visuelle et un stimulant appel aux forces de l'imagination - un travail magnifique...".

    Le voir, c'est le croire ...

    Kush Herath
    Senior Lecturer in French
    University of Peradeniya



    Rétrospective


    Matisse-Picasso à Paris

    Il faudrait pouvoir mettre côte à côte tout ce que Matisse et moi avons fait en ce temps-là. Jamais personne n'a si bien regardé la peinture de Matisse que moi. Et lui, la mienne... "

    Propos de Pablo Picasso in Pierre Daix,
    Picasso Créateur,
    Paris, 1987, p.74

    On vient d'avoir l'idée la plus rare et la plus imprévue, celle de réunir dans une même exposition les deux maîtres les plus fameux et qui représentent les deux grandes tendances opposées de l'art contemporain. On a deviné qu'il s'agit d'Henri Matisse et de Pablo Picasso. L'œuvre éclatant du premier ouvre de nouvelles voies à l'impressionnisme et l'on sent bien que cette veine de la grande peinture française est loin d'être épuisée. L'autre au contraire, montre que cette riche perspective n'est pas la seule qui s'ouvre à l'artiste et à l'amateur et que l'art concentré qui a donné le cubisme, cette esthétique éminemment contemporaine se rattache par Degas, par Ingres aux traditions les plus hautes de l'art [...] "

    Ces lignes de Guillaume Apollinaire introduisent en janvier 1918 le communiqué de presse annonçant l'ouverture à la galerie Paul Guillaume de la première exposition conjointe jamais consacrée à Matisse et Picasso.

    Au moment de leur rencontre chez les Stein, leurs mécènes et amis communs, durant l'hiver 1905-06, Matisse (1869-1954) et Picasso (1881-1973) se trouvent engagés dans des recherches plastiques à l'origine des révolutions " fauve " et " cubiste ". Dès lors et tout au long de leur trajectoire artistique, ils vont travailler, dans un vis à vis productif, à Paris, en Catalogne ou sur la Riviera française, autour des grands genres du Nu, du Portrait et de la Nature morte. Oscillant entre amitié et compétition, leur relation sera fondée sur une véritable " fraternité artistique " selon les mots de Matisse.

       Pablo Picasso,
    Nature morte
    au pichet et aux pommes (1919)
    Huile sur toile,
    65 x 43.5 cm Musée Picasso, Paris

    Comme en témoigne la presse et la critique d'art, Matisse et Picasso furent considérés dès la première décennie du siècle comme les deux principaux inventeurs de l'art moderne. Fondée sur un bilan croisé de près d'un siècle de réévaluations critiques et de recherches, cette exposition reconstitue les moments-clefs de leur dialogue entre 1906 et 1954, à travers un ensemble d'œuvres maîtresses provenant des plus prestigieuses collections publiques et privées : 76 peintures, 28 sculptures, 47 dessins, 10 papiers collés et gouaches découpées.

    Selon un parcours globalement chronologique, l'exposition témoigne pour l'ensemble de leur trajectoire artistique des échanges ou interférences stylistiques et thématiques entre leurs deux œuvres, notamment dans leur redéfinition commune de la figure dans les années 1906-1908, les compositions " cubisantes " de Matisse en 1913-1917, l'évocation du grand thème matissien des Odalisques par Picasso à partir des années 30, et leurs gouaches et tôles découpées qui, entre 1930 et 1950, s'attachent à repenser la peinture et la sculpture comme des " signes dans l'espace ".

    L'exposition permet ainsi d'établir des confrontations inédites d'œuvres contemporaines telles le Nu bleu : Souvenir de Biskra, 1907, de Matisse (The Baltimore Museum of Art, Baltimore), et la Femme nue aux bras levés, 1907, de Picasso (collection particulière), présentée à Paris pour la première fois, mais aussi d'opérer des parallèles audacieux entre des œuvres de techniques différentes, tout particulièrement dans la dernière section réunissant gouaches et tôles découpées, et en juxtaposant des œuvres appartenant à des périodes de création distantes dans le temps telles Nature morte sur fond vert, de Picasso, 1914 (The Museum of Modern Art, New York) et Nature morte au magnolia, de Matisse, 1941 (Centre Pompidou, Musée national d'art moderne), - confrontation présentée à Paris seulement.

     
    Henri Matisse
    Nature morte aux oranges (1916) Huile sur toile
    54 x 65 cm
    Collection part., Paris

    Source : Le site officiel de l'exposition

     

    Paul Gauguin dans les collections new-yorkaises
    L'attrait de l'exotisme Du 18 juin au 20 octobre 2002.
    The Metropolitan Museum of Art, New York.

    Le Christ jaune, 1889, Albright-Knox Art Gallery, Buffalo, New York.

      Cette grande exposition représente la première occasion où, après plus de 40 ans, Paul Gauguin (1848-1903) est l'objet d'un évènement de cette importance dans la ville de New York, et la première fois où le Metropolitan Museum expose dans sa totalité sa collection des oeuvres du peintre français.

      120 oeuvres en provenance de collections publiques et privées new-yorkaises sont présentées dans cette exposition, que ce soit peintures, sculptures, dessins, et gravures. Sont présentes de œuvres appartenant aux différentes étapes majeures de sa carrière et a ses différents lieux : Bretagne, Provence, Martinique, Tahiti, et les Iles Marquises .

    Le Metropolitan Museum fit l'acquisition de son premier Gauguin en 1921, et l'oeuvre de Gauguin gagna une audience de plus en plus large grâce aux efforts de personnalités new-yorkaises et d'institutions locales.

    C'est grâce aux efforts de ces pionniers et la générosité des donneurs que le Metropolitan Museum comme d'autres Musées de l'Etat - tels le Museum of Modern Art de Manhattan ou le Albright-Knox Gallery de Buffalo- ont pu fournir à des générations de visiteurs une approche vivante du génie de Gauguin. La présentation de ces oeuvres, certaines pour la première fois, permet d'effectuer une enrichissante synthèse de la carrière fascinante de Gauguin et un récit de l'accueil qui fut réservé à ses œuvres de ce côté de l'Atlantique.

    Le catalogue.

    Cet ouvrage analyse le développement de l'art de Gauguin dans le cadre de ses voyages, discute l'histoire des collections et des expositions de l'oeuvre de l'artiste à New York, explore l'examen technique et l'identification de ses peintures et éclaire les connaissances sur le matériel et les techniques que Gauguin utilisait pour ses œuvres sur papier. Par ailleurs, le catalogue comporte de nombreuses citations de lettres de Gauguin et autres écrits, car il était une distingué styliste.

    256 pages, 222 illustrations (134 en couleur).

    Source : Site official du Metropolitan Museum of Art

    France

    KRIS ET SARONG

           Masculin et féminin dans l'archipel indonésien

    18 mai - novembre2002,
    Musée des Arts Asiatiques, 405, Promenade des Anglais, Nice.



    Dans l'archipel indonésien, la classification des activités et des objets selon le genre est un des éléments les plus caractéristiques des systèmes de pensée.
    C'est donc autour de la thématique qu'est axée la présentation d'une centaine d'objets d'art significatifs des Cultures indonésiennes, empruntés au musée de 1'homme, Paris, au musée des Tropiques, Amsterdam, au Muséum Nusantara, Delft, et à des Collections privées européennes.
    Elle s'organise autour de deux points forts : les arts du métal ou kris, essentiellement les poignards, symboles phalliques à l'usage du monde masculin, et les arts du textile pratiqués par les femmes.

    Cest la première fois, à notre connaissance que l'art indonésien est évoqué dans une exposition par le biais de cette thématique riche de sens.

    Archives

  • Trésors des Arts Asiatiques. - Printemps 2000. (FR)

  • "Méditerranée, de Courbet à Matisse". - Septembre 2000. (FR)

  • Edouard Manet à l'honneur... - Octobre 2000. (FR)

  • L'Ecole de Paris - Décembre 2000. (FR)

  • Hommage à George Keyt - Janvier 2001. (SL)

  • Anoma Wijewardene à Paradise Road Galleries. - Mars 2001 (SL)

  • Kingsley Gunatillake à Paradise Road Galleries - Mars 2001. (SL)

  • "Dans la toile emmêlée" - Une Exposition de Anoli Perera - Mai 2001. (SL)

  • Alberto Giacometti au Centre Pompidou : Le dessin à l'oeuvre. - Juin 2001 (FR)

  • Arnold Boecklin : Un Visionnaire moderne. - Octobre 2001 (FR)

  • Muhanned Cader : Hurrah for the Circus. - Novembre 2001 (SL)

  • Jayasiri Semage au Népal. - Décembre 2001 (SL)

  • Winitha Fernando : "Retrospective Art Exhibition". - Décembre 2001 (SL)

  • Jayamini de Silva : "STHREE". - Juillet 2002 (SL)

  • Gangcey 13 : "Jeunes artistes de l’Inde". - Juillet 2002 (SL)