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Fables de Bidpai en cinghalais
The oldest literary genre called 'fable' has created a lasting interest in all nations down the centuries. Most fables have been transmitted orally and at a particular moment had come to be written and printed in the form of collections for readers of all ages. A fable is explained as a short allegorical or naturalistic tale conveying a moral or a particular principle of behaviour.
It is found that one comes across characters of animals and humans as well as super humans and apparitions, depending upon the context in which it is created or woven. Often at the end of most fables, a moral is appended in the form of a proverb, and as folklorists say, the fable itself might be called an acted out proverb.
Most religious leaders like the Buddha, and Jesus Christ made use of fables, parables and similes to explain the state of good living and achieve a better climate of purified life. As such parables as utilized by great religious leaders tend to transmit from one generation to the other as a unique form of human communication
.
It may have been easier perhaps for a priest or a sage to pass on a particular message creatively by way of a fable, and today one has to study the essential elements in creative communication in order to gauge the strength of a message.
I read the collection 'fables of Bidpai' translated into Sinhala by the well-known folklorist Chandrasiri Ranasinghe as Bidpaige Upamakata and published by Godage publishers.
Prof. Sunanda Mahendra (Daily News, 25 August 2004)
Voici un second recueil de fables que je présente au public…Je dirai, par
reconnaissance, que j'en dois la plus grande partie à Pilpay, sage
indien..."
Les Indes de La Fontaine : Pilpay - La Fontaine,
Avec Rabindranath Tagore, nous vous invitons à remonter plus de
trois siècles dans le temps - aux environs de l'an 1765.
Au Sri Lanka, les Hollandais viennent de bouter les Portugais
hors de l'île de Ceylan et tentent à plusieurs reprises et sans succès de
s'assurer la maîtrise de Kandy...
En France, à Paris ou plutôt à Versailles, s'affirme la
toute-puissance du jeune monarque Louis XIV, le "Roi-Soleil" qui n'a de
cesse d'imposer son pouvoir absolu sur ses sujets - l'art étant un domaine
privilégié qu'il ne peut concevoir que dévoué au culte de sa personne et de son
règne. Tout intellectuel ou artiste, tout créateur doit, de gré ou de force, se
plier aux exigences du monarque absolu...
Cependant, aucun totalitarisme ne peut empêcher que ne
s'exprime, plus ou moins dans l'ombre, la voix des poètes.
Et ici, en ce dernier quart du XVIIe siècle français, commence
déjà le travail souterrain qui, un siècle plus tard, fera s'effondrer les
lourdes murailles de la Bastille.
Le Salon de Madame de La Sablière - le plus brillant foyer
d'intelligence et de charme de Paris - est un de ces lieux de résistance.
Au nombre de ses invités le docteur François Bernier, médecin
et philosophe, de retour des Indes où il a séjourné une douzaine d'années comme
médecin de Shah Jahan, puis de son fils Auren Zeb, Empereur Mogol...
Au nombre de ses invités également un provincial qui se lie
étroitement avec François Bernier - déjà ouvert aux traditions orientales
puisque, dès 1644, il a connaissance des fables de Pilpay dans une traduction
française parue sous le titre "Le Livre des Lumières"...
Poète, rêveur, distrait et un tantinet frondeur, il s'est
surtout fait connaître par un recueil publié en 1668 où il ne se prive pas -
sous la forme gentiment innocente de fables mettant le plus souvent en scène des
animaux - de fustiger les moeurs de ses concitoyens, fussent-ils tout-puissants.
Il s'apprête à publier un second recueil de Fables dans lequel
- comme il devait le préciser lui-même dans son avertissement -bien des sujets
sont dus à Pilpay, sage indien...
Et nous voici témoins émerveillés de ce que fut l'étonnante
migration des fables qui - pour reprendre les termes du Professeur Ananda
Kulasuriya - "est l'un des plus fascinants chapitres dans l'histoire litteraire
de l'humanité - moment privilégié qui signe la rencontre de deux cultures : la
prestigieuse tradition littéraire de l'Inde avec ses deux joyaux que sont les
Jataka et le Panchatantra et la brillante activité créatrice de ce grand poète
français du XVIIe siècle que fut Jean de La Fonataine.
Ainsi la laitière avec son pot au lait de ce bon La
Fontaine fait-elle un clin d'oeil au Brahmane tout enfariné de Pilpay,
la tortue et les deux cygnes de la tradition indienne - des
siècles plus tard - traversent bien imprudemment le ciel de France,
et un bien sinistre scénario rassemble les mêmes protagonistes :
héron, cormoran, poissons et écrevisses sur les bords du Gange ou de la
Seine...
REFERENCE ENQUETE
La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le
Boeuf
Une grenouille vit un boeuf (La Fontaine, Fables I, 3)
Ce théme illustré par La Fontaine existe-t-il dans la tradition
orientale?
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